Une éducation de Tara Westover
Un mélange brutal entre «Captain Fantastic» et «Le château de verre». Une vie
primitive, rude, brusque et misogyne. Un retour aux fondamentaux et à la nature
qui ferait pâlir d’envie les familles modernes minimaliste, si seulement, il
n’y avait pas en toile de fond la violence et la religion dans sa plus belle
palette d’intolérance.
C’est un récit d’émancipation
intellectuelle et familiale, d’apprentissage de la pensée autonome, de force et
d’affrontement avec la brutalité et le savoir comme acteur de résilience.
La vie de Tara est inspirante
et force l’admiration. Son témoignage pousse à la réflexion, il est vif,
incisif sans omission ni concession. Une découverte stimulante.
JC Lattès, le 9 janvier 2019
400 pages
Captain Fantastic de Matt Ross
(2016)
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